L’énergie brute des Von Pariahs

Un mélange explosif de new-wave, de rock et de punk. C’est ainsi que l’on pourrait décrire les Nantais de Von Pariahs. Ils étaient présents sur les planches de la MJC Picaud ce vendredi 31 janvier. Buzzles les a rencontrés. Interview.

Lorsque l’on souhaite présenter un groupe que peu de monde -pour le moment- connaît, l’habitude est de citer ce qui s’y rapproche le plus. Ici, on évoquerait les Cure, les Stooges, Echo & The Bunnymen, Joy Division ou encore le groupe écossais The Jesus & Mary Chain. Rien que ça ! Mais les Von Pariahs ont leur propre identité. Le côté revival de leur premier album ne peut que réjouir les amoureux du son lourd des 80’s. Les quatre premières compositions d’Hidden Tensions (Gruesome, Carolina, Skywalking, Still Human) sont abouties et lancent en force les huit pistes suivantes, avec un apogée nommé Someone New. Ce dernier a d’ailleurs tourné en boucle sur bon nombre de radios. Normal dirait-on.

Écouter l’album est une chose, les voir en live en est une autre. C’est indéniable, Von Pariahs s’est construit sur scène. Ils sont six. Au centre, Sam le chanteur, originaire de l’ile du Jersey, semble comme habité par ses morceaux, il remue les mains, marque le tempo avec son corps, tourne dans tous les sens sur la scène. Les guitares saturent et les enceintes vrombissent sans temps mort. Les Von Pariahs marquent les esprits… et les oreilles. Un bonheur.

Interview avec Sam Sprent, chanteur, et Théo Radière, guitariste.

Comment avez-vous évolué sur la scène nantaise/angevine puisque vous étiez en résidence au Chabada? Comment cela vous a-t-il permis de prendre un peu plus d’ampleur ?

– Vous avez une palette musicale très large, vous passez du rock à la punk avec un peu de new-wave.. Pour quelles raisons?

– Vous êtes six dans le groupe, ça fonctionne comment pour les compostions entre vous?

– Vous force, c’est le live…

Toutes les photos et interview complète sur Kulturoscope.

Antoine Lahier

Victor Vasseur