Manifestation de solidarité

Samedi 3 octobre à 14h, le collectif solidarité Charcot sonnera le départ de la deuxième marche en soutien à lutte contre la maladie à Paris.

En 2014, plus de 400 personnes ont fait preuve de solidarité. (Crédit photo : sinvestirsla.fr)

En 2014, plus de 400 personnes ont fait preuve de solidarité. (Crédit photo : sinvestirsla.fr)

Quinze associations se réuniront demain, samedi 3 octobre en début d’après-midi, sur le parvis de la cathédrale Notre-Dame. Une marche de plusieurs kilomètres dans la capitale dans le but de faire connaître la SLA (Sclérose latérale amyotrophique) ou maladie de Charcot au grand public. Les malades avaient déjà tenté une première expérience l’année dernière. L’initiative avait rassemblé plus de quatre cent personnes selon les organisateurs. « Cette manifestation a été très forte en émotions l’an dernier » nous confie Sandrine Baudoin, fondatrice de l’organisation s’investir pour la SLA et atteinte de la maladie de Charcot.

La naissance du collectif

15 associations se réunissent pour faire connaître la maladie dont la fondation Thierry Latran. (Crédit photo : sinvestirsla.fr)

15 associations se réunissent pour faire connaître la maladie dont la fondation Thierry Latran. (Crédit photo : sinvestirsla.fr)

Cette action a permis de rassembler des centaines de malades et leurs familles pour soutenir le mouvement. « J’ai retrouvé des personnes avec lesquelles je communiquais sur Facebook » explique Sandrine. C’est d’ailleurs de ces rencontres lors de la première marche que les malades issus de différentes associations ont tissé des liens et par la suite donné naissance au « collectif solidarité Charcot ». Un label que ses membres espèrent rassembleur pour lutter plus efficacement ils l’espèrent contre cette maladie orpheline. La fondation Thierry Latran , membre de ce groupe, est la seule fondation européenne dédiée exclusivement à la recherche contre la SLA. « Nous devons nous faire connaître pour que cette maladie ne soit plus orpheline » martèle Sandrine Baudouin.

Thibault Cordier

Enora Le Notre

Pour en savoir plus, retrouvez le témoignage de Sandrine, atteinte de la maladie de Charcot, en cliquant ici.