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#Brexit : Revue de tweets 2/2
Le Brexit n’en finit pas de livrer son lot de surprises. Il y a une semaine, les Britanniques se sont prononcés à 51,9% en faveur de leur sortie de l’Union européenne. Buzzles fait le point sur la suite de cette semaine mouvementée.
Samedi 25 juin
Jeremy Corbyn, leader du parti travailliste , qui a déçu par son manque d’implication dans la campagne en faveur du Remain, devient la cible d’une motion de défiance
Une pétition en ligne réclamant un second référendum a déjà récolté plus de 4 millions de signatures.
Rapidement, les six pays fondateurs de l’UE se sont réunis. Il souhaitent que la sortie du Royaume-Uni se fasse dans les plus brefs délais.
À Londres, des milliers de personnes signent une pétition réclamant une ville indépendante afin de rester dans l’UE.
Dimanche 26 juin
Plus de la moitié des membres du cabinet fantôme travailliste démissionnent.
Lundi 27 juin
Dans sa chronique hebdomadaire du Telegraph Boris Johnson s’exprime sur le Brexit et semble en minimiser les conséquences.
Mardi 28 juin
« Que faites-vous ici ? », Jean-Claude Juncker, président de la Commission européenne recadre Nigel Farage, leader du parti Ukip lors d’une session au Parlement européen.
Mercredi 29 juin
Réunion des dirigeants européens lors lors d’un sommet à Bruxelles. Ils souhaitent entamer la procédure de divorce le plus rapidement possible.
Nicola Sturgeon, chef de fil du SNP (Scottish National Party), défend la place de l’Écosse dans l’Union européenne à Bruxelles.
Le Premier ministre David Cameron appelle également Jeremy Corbyn, chef de fil du parti travailliste à quitter ses fonctions. Une grande partie de son cabinet fantôme, a déjà quitté ses fonctions.
Manifestation à Londres pour protester contre le Brexit.
Jeudi 30 juin
À la surprise générale, Boris Johnson, qui a mené la campagne pro-Brexit, se retire dans la course au 10 Downing Street, assurant qu’il n’est plus en lice pour prendre la suite de David Cameron.
Michael Gove, ministre de la Justice et Theresa May, ministre de l’Intérieur, se declarent candidats. Au total, cinq sont déjà en lice.
La Slovaquie, en proie à la montée du nationalisme et de euroscepticisme, assumera pour la première fois la présidence de l’Union européenne pendant les six prochains mois. Elle devra encadrer les prochaines étapes de la crise du Brexit en attendant la demande formelle de sortie du Royaume-Uni.
Et toujours des conséquences depuis la décision du Brexit…
Mariette Guinet